
Assassin’s Creed : Shadows – Les secrets d’une performance optimale sur PC
Naviguer dans l’univers japonisant d’Assassin’s Creed : Shadows est un rêve devenu réalité pour de nombreux fans. Ce nouveau chapitre de la célèbre franchise promet des aventures inoubliables, mais qu’en est-il des performances sur PC ? Voici un examen minutieux des réglages graphiques et astuces pour une expérience fluide.
Ray tracing : reflets époustouflants ou fardeau inutile ?
L’intégration du ray tracing dans les jeux vidéo a longtemps été acclamée pour sa capacité à apporter un réalisme visuel saisissant. Avec Assassin’s Creed : Shadows, Ubisoft vous permet de choisir entre trois niveaux de ray tracing : sélectif, standard et étendu. Chacun propose une amélioration progressive des effets lumineux et des ombres, créant ainsi une profondeur immersive.
Toutefois, il convient de peser le pour et le contre avant d’activer cette option. Sur un matériel plus ancien ou modestement équipé, ces améliorations peuvent impacter sévèrement votre taux de rafraîchissement, rendant certains passages moins agréables. Pour ceux équipés d’une carte graphique robuste comme les RTX 4070 ou 5080, l’activabilité du ray tracing peut transformer le jeu en une véritable œuvre d’art interactive.
Upscaling et génération de frames : nécessaire ou superflu ?
Il n’est pas rare de croiser des joueurs débattant sur l’efficacité des technologies d’upscaling et de génération de frames. Ces techniques sont conçues pour améliorer les performances en sollicitant moins votre processeur graphique sans désavantager la qualité visuelle. Cependant, toutes deux ne valent pas forcément le coup d’être activées simultanément, surtout si vous disposez d’un système aux performances remarquables.
Cependant, dans certaines configurations médianes, préserver une jouabilité fluide tout en profitant d’une résolution haute peut nécessiter l’aide précieuse de l’upscaling type FSR (FidelityFX Super Resolution) qui compense une puissance calculatoire moindre. Une configuration moyenne pourra tirer parti efficacement de ces options sans sacrifier l’expérience utilisateur globale.
Analyse des performances selon la configuration matérielle
Pour évaluer les aptitudes du jeu sur diverses plateformes, nous avons testé Assassin’s Creed : Shadows sur différentes configurations allant du modeste PC de jeu au top des gammes disponibles. Cette diversité montre une évidence : bien que le jeu soit initialement conçu pour les consoles next-gen, son portage sur PC requiert une attention toute particulière.
Le pré-réglage bas offre déjà des graphismes convenables pour les systèmes plus anciens, mais atteindre les fameux 60 fps à 1080p reste un défi. Notamment, le RX 5700 XT prouve être une alternative viable malgré ses quelques années, atteignant près de 49 fps avec ce paramétrage. Cela dit, espérer viser plus haut en termes de FPS pourrait se révéler illusoire sans matériel de pointe.
Pousser les limites avec des configurations modernes
Du côté des machines contemporaines, les combinaisons puissantes comme celle du Ryzen 7 9800X3D et de la GeForce RTX 5080 intègrent parfaitement les paramètres supérieurs, mais ne franchissent guère les 120 fps avec un réglage graphique faible. Propulsé par un processeur moderne, le preset moyen constitue néanmoins un bon compromis, offrant fluidité tout en rehaussant significativement la qualité graphique.
Les choses se corsent lorsque l’on grimpe encore dans les réglages, notamment à travers le ‘très élevé’ où seuls les GPUs comme la Radeon RX 7900 XT paraissent suffisants sans artifices tels que l’upscaling. Hors cartes graphiques dernier cri, s’attendre à voir trébucher sa machine dans les environnements les plus lourds devient inévitable. Évitez cela autant que possible pour maintenir la meilleure expérience vidéoludique.
Détails environnementaux : entre émerveillement et pragmatisme
Un monde riche en détails est toujours plus accueillant mais soulève aussi des défis technologiques. Dans Assassin’s Creed : Shadows, chaque niveau présente son propre cachet, bien plus visible si votre configuration le permet. Commençons par constater que même avec une mise en scène sobre des arrière-plans, l’équilibre entre beauté esthétique et gestion efficace constitue un réel casse-tête pour les développeurs.
Comment négliger alors la finesse des animations embellissant votre passage au fil du scénario ? Pourtant, Ubisoft doit jongler habilement : certaines concessions sont faites sur des aspects comme l’interaction NPC ou l’élaboration des plans d’eau, souvent fidèles mais jamais ahurissants. L’exploration en extérieur, contrastant parmi les ajouts architecturaux, recalibre la perception du joueur vers une immersion étendue.
- 🔹 Graphiques dynamiques et adaptatifs
- ✨ Interaction NPC variable mais généralement fluide
- 🌊 Effets aquatiques respectables mais non révolutionnaires

Les choix de personnalisation graphique optimaux
Afin de prévenir frustration et déceptions, savoir manier les multiples options offertes dans le menu graphique du jeu tient une importance capitale. Les jauges de VRAM intégrées fournies par Ubisoft, quoique parfois imprécises, aiguillent sur les allotissements mémoriels idéals pour éviter les ralentissements lors des scènes exigeantes.
Vous pourriez par exemple ajuster certains détails aux pourcentages jugés pertinents afin d’arborer fièrement chacun des paysages ornant votre aventure sans vraiment accuser le coup quant à l’obsolescence fonctionnelle inhérente aux PC. La liberté de paramétrage combinée au plaisir d’une fonctionnalité constante résonnent effectivement comme motivation à maximiser.
Questions fréquentes autour d’Assassin’s Creed : Shadows sur PC
Quels sont les minimums recommandés pour une expérience optimale ?
Pour savourer pleinement Assassin’s Creed : Shadows, il est conseillé de s’équiper d’un processeur récent couplé à une carte graphique milieu de gamme telle qu’une RTX 3060 Ti. Côté mémoire vive, cibler au moins 16 GB assurera un confort certain pendant vos sessions.
Comment modifier les réglages graphiques pour optimiser la qualité ?
Commencez par ajuster le niveau de détail des ombres et des effets de lumière, dont l’impact perceptible sur les ressources se révèle crucial. Le scaling dynamique via une valeur adaptée (par exemple, 75%) équilibrera performance et esthétique.
L’usage du ray tracing nuit-il aux performances ?
Oui, le ray tracing consomme considérablement votre potentiel de calcul, particulièrement sur les matériels antérieurs peu performants. Autorisé à divers degrés, son impact demeure assez lourd sans un matériel performant approprié.
Est-il recommandé d’utiliser le upscaling?
Cela dépend de l’équipement utilisé ! Pour les configurations limitées ou vétustes, le recours à une méthode telle le FidelityFX Super Resolution assure préservation du taux d’image. Alternative prisée, elle allège aussi les traitements graphiques intensifs.
Commentaires
Laisser un commentaire